Nous avons le plaisir de vous offrir l’opportunité de remporter de superbes cadeaux mis en jeu par 3 exposants du salon Abc kidz 2025 : Babybio, Cultura et Muriel Meynard Photographie.
🎁 À gagner :
📸 Une séance photo en famille – Collection Tendresse, offerte par Muriel Meynard Photographie (valeur 120€)
🛍️ Une carte-cadeau Babybio de 50€
🛍️ Une carte-cadeau Cultura d’une valeur de 30€
👉 Comment participer ?
- Suivez les comptes @abc.kidz, @babybio_officiel, @leplongeoir_culturabordeauxlac et @murielmeynardportrait sur Instagram
- Taguez, sur notre post instagram, 2 ami(e)s à qui ces lots devraient aussi plaire
👉 Déroulement du jeu-concours :
📆 Participations ouvertes du 5 mars au 11 mars 2025 à minuit
🎊 Annonce des gagnants le 12 mars sur instagram & facebook
🎁 Remise des lots sur le salon Abc kidz, les 22 et 23 mars 2025 à Darwin (Bordeaux),
Bonne chance 🍀 !
Crédits photos : ©Babybio, ©Cultura, ©Muriel Meynard Photographie
Accueillir un bébé est une expérience bouleversante, mêlant émerveillement, fatigue et adaptation au rythme de son enfant. Pour certaines mamans, cette période s’accompagne d’une profonde tristesse, d’anxiété et d’un sentiment d’épuisement qui va bien au-delà de ce qu’on appelle le baby blues, très fréquent, qui survient chez 50 à 80 % des femmes dans les 3 premiers jours après l’accouchement[1].
La dépression post-partum, elle, touche entre 10 et 20 % des mères dans les semaines suivant l’accouchement[2]. Elle peut impacter le bien-être de la mère, mais aussi sa relation avec son bébé et son entourage. Pourtant, elle reste encore taboue, et beaucoup de femmes ont du mal à l’identifier, et si elles y parviennent, hésitent à en parler ou à demander de l’aide. En effet, les sentiments s’entremêlent et la culpabilité s’en mêle : ne devrait-on pas être la plus heureuse du monde quand on vient d’accueillir un enfant ?
Alors comment savoir si l’on souffre d’une dépression post-partum ?
L’échelle d’Édimbourg (EPDS) est un outil de dépistage reconnu, utilisé par les professionnels de santé pour évaluer l’intensité des symptômes et orienter les jeunes mères vers un accompagnement adapté.
Dans cet article, nous vous faisons découvrir ce test, et vous indiquons différentes clés si un mal-être persistant survient après l’accouchement. Vous n’êtes pas seule, et des solutions existent pour aller mieux.
Baby blues ou dépression post-partum ?
Après l’accouchement, de nombreuses femmes ressentent une instabilité émotionnelle, une grande fatigue et une hypersensibilité. Ces manifestations sont courantes, mais il est important de différencier un baby blues, qui est transitoire, d’une dépression post-partum, qui nécessite une attention particulière et un accompagnement.
Le baby blues : une réaction passagère
Le baby blues survient dans les premiers jours suivant l’accouchement, généralement entre le troisième et le cinquième jour. Il se manifeste par des sautes d’humeur, une irritabilité, une tendance aux pleurs sans raison apparente et une fatigue intense. Ces symptômes sont souvent liés aux bouleversements hormonaux, au stress de l’accouchement et à l’adaptation à la nouvelle vie avec votre bébé. Bien que déroutante, cette phase est passagère et disparaît spontanément en quelques jours, sans nécessiter de prise en charge particulière.
La dépression post-partum : un mal-être persistant
La dépression post-partum, en revanche, peut apparaître dans les semaines ou les mois suivant l’accouchement. Elle se caractérise par une tristesse persistante, une perte d’intérêt ou de plaisir, une fatigue extrême, des troubles du sommeil et de l’appétit, ainsi qu’un sentiment de culpabilité ou d’incompétence. Parfois, elle peut engendrer des difficultés à créer un lien avec son bébé et perturber la vie quotidienne. Contrairement au baby blues, elle ne disparaît pas d’elle-même et nécessite un accompagnement médical et psychologique.
Il est essentiel de ne pas minimiser ces signes. Si les symptômes durent, s’intensifient ou affectent profondément le bien-être de la mère et son entourage, il est recommandé de consulter un professionnel de santé. Se sentir dépassée après une naissance est normal, mais un mal-être persistant ne doit pas être ignoré. Un suivi adapté permet d’éviter que la situation ne s’aggrave et d’apporter le soutien nécessaire à la mère et à son enfant.
Qu’est-ce que l’échelle de dépression post-partum d’Édimbourg (EPDS) ?
L’échelle de dépression post-partum d’Édimbourg (EPDS) est un questionnaire conçu pour aider à identifier les symptômes dépressifs chez les femmes après l’accouchement. Bien qu’elle ne constitue pas un outil de diagnostic à elle seule, elle est largement utilisée par les professionnels de santé pour évaluer le risque de dépression post-partum et orienter les patientes vers un accompagnement adapté.
Origine et conception
L’EPDS a été développée en 1987 par trois chercheurs britanniques : John Cox, Jeni Holden et Ruth Sagovsky. Leur objectif était de créer un outil de dépistage fiable, simple et rapide à utiliser pour détecter les signes de dépression postnatale.
Pourquoi utiliser l’EPDS ?
L’échelle d’Édimbourg permet :
- d’identifier précocement les symptômes de la dépression post-partum, souvent difficiles à distinguer du baby blues,
- d’évaluer la sévérité des symptômes afin d’adapter l’accompagnement,
- de suivre l’évolution de l’état émotionnel des jeunes mères après l’accouchement.
Le questionnaire s’intéresse aux émotions ressenties au cours des sept derniers jours. Il peut être rempli seule ou avec l’aide d’un professionnel de santé, comme un médecin, une sage-femme ou un psychologue.
L’EPDS est aujourd’hui l’un des outils de dépistage les plus utilisés dans le monde pour accompagner les femmes en période postnatale.
Comment fonctionne l’échelle d’Édimbourg ?
L’échelle de dépression post-partum d’Édimbourg (EPDS) est un test composé de 10 questions qui évaluent l’état émotionnel des jeunes mères au cours des sept derniers jours.
Chaque question aborde un aspect clé des troubles de l’humeur, comme :
- la tristesse ou la mélancolie
- l’anxiété et l’inquiétude excessive
- la difficulté à ressentir du plaisir
- les pensées négatives.
Pour chaque question, quatre réponses sont proposées, classées selon l’intensité des symptômes (de 0 à 3 points). L’addition des points donne un score global sur 30, qui permet d’évaluer la probabilité d’une dépression post-partum.
Comment interpréter les résultats ?
- Moins de 10 points : rassurant.
Aucun signe évident de dépression post-partum n’est détecté. Toutefois, il est important de rester à l’écoute de ses émotions. - Entre 10 et 12 points : vigilance nécessaire.
Des signes de mal-être sont présents, une attention particulière est recommandée. Il peut être utile de refaire le test après quelques semaines et d’échanger avec un professionnel de santé. - Plus de 12 points : consultation recommandée.
Ce score indique un risque élevé de dépression post-partum. Il est essentiel de consulter un médecin, une sage-femme ou un psychologue (idéalement spécialisé dans la période postnatale et le lien mère/enfant), pour une évaluation approfondie et un accompagnement adapté.
L’EPDS ne remplace pas un diagnostic médical mais constitue un outil précieux pour identifier les premiers signes de dépression post-partum et encourager la maman à demander de l’aide.
Passer le test en ligne
L’échelle de dépression post-partum d’Édimbourg (EPDS) est un outil rapide et accessible, conçu pour vous aider à repérer les signes d’une dépression postnatale. Il est recommandé de remplir ce test dans un moment de calme et de répondre avec sincérité afin d’obtenir une évaluation aussi précise que possible de votre état émotionnel.
Faire le test en ligne
Le test peut être complété directement en ligne, notamment sur le site de l’association Maman Blues, qui permet aux mères de parler librement de leur difficulté maternelle, sans peur d’être jugée. Une fois terminé, il fournit un score permettant d’évaluer la probabilité d’une dépression post-partum et de vous orienter vers une prise en charge adaptée.
Télécharger la version imprimable
Si vous préférez une version papier, qui vous permettra de partager plus facilement les résultats avec un professionnel de santé afin d’en discuter avec lui, nous vous en proposons version imprimable.
Fréquence recommandée pour repasser le test
La dépression post-partum évolue avec le temps et peut se manifester plusieurs semaines après l’accouchement. Il est conseillé de refaire le test deux à trois semaines après, si des signes de mal-être persistent ou s’intensifient.
Un score élevé ou un sentiment de détresse nécessite une consultation auprès d’un professionnel de santé. L’EPDS est un outil de dépistage, mais seul un médecin, une sage-femme ou un psychologue pourra établir un diagnostic précis et proposer un accompagnement adapté.
Que faire en cas de dépression post-partum ?
Reconnaître une dépression post-partum est une première étape essentielle, mais savoir vers qui se tourner et comment se faire aider est tout aussi important. Ce trouble ne doit pas être affronté seule : un accompagnement médical, un soutien psychologique et un entourage bienveillant peuvent faire toute la différence.
La première démarche consiste à consulter un professionnel de santé. Un médecin généraliste, une sage-femme ou un psychologue, idéalement spécialisé en périnatalité, peuvent poser un diagnostic précis et proposer un suivi adapté. Une psychothérapie est souvent recommandée pour aider à exprimer ses émotions et mieux comprendre les causes du mal-être ressenti.
Le rôle de l’entourage est également fondamental. Le conjoint, la famille et les amis doivent être à l’écoute de la jeune maman et apporter un soutien sans jugement. La charge mentale liée à l’arrivée d’un enfant peut être écrasante, et il est essentiel de ne pas hésiter à déléguer certaines tâches du quotidien pour alléger cette pression. Demander de l’aide pour s’occuper du bébé, se reposer et prendre du temps pour soi peut permettre de mieux faire face aux difficultés.
Des structures spécialisées existent pour accompagner les jeunes mères en détresse. Des associations et des réseaux de soutien offrent des espaces d’écoute et des conseils adaptés. En France, il est possible de se tourner vers des centres médico-psychologiques (CMP), des consultations périnatales dans les hôpitaux ou encore des lignes d’écoute dédiées à la santé mentale.
Parler de votre mal-être est essentiel. La dépression post-partum reste un sujet encore trop souvent tabou, mais elle est une réalité pour de nombreuses mères. Briser le silence et oser demander de l’aide permet d’amorcer une prise en charge et de retrouver progressivement un équilibre. Ce trouble n’est ni une faiblesse ni une fatalité : avec un accompagnement adapté, il est possible de surmonter cette épreuve et de retrouver du bien-être dans sa maternité.
La naissance d’un enfant est un bouleversement profond, tant sur le plan physique qu’émotionnel. Ressentir de la fatigue, du doute ou même une certaine tristesse après l’accouchement est une expérience courante, et il est important de rappeler que ces sentiments ne sont ni anormaux ni une preuve d’échec en tant que parent.
Cependant, lorsque ces émotions deviennent envahissantes, persistantes et qu’elles affectent le bien-être quotidien, il est essentiel de ne pas rester seule face à cette souffrance. La dépression post-partum est un trouble reconnu qui touche de nombreuses femmes, et il existe des solutions pour en sortir.
Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse, mais une étape nécessaire pour aller mieux. Qu’il s’agisse d’un professionnel de santé, d’un proche ou d’un groupe de soutien, chaque geste d’accompagnement peut faire une différence. Se sentir écoutée, comprise et accompagnée permet d’entamer un chemin vers le rétablissement et de retrouver du plaisir dans la maternité.
La parentalité est un apprentissage, fait de hauts et de bas, et il n’y a pas de modèle parfait. Chaque mère mérite d’être soutenue et entourée dans cette transition de vie exigeante. Prendre soin de vous, c’est aussi prendre soin de votre enfant !
Sources
[1] Ameli – Baby blues
https://www.ameli.fr/medecin/sante-prevention/sante-mentale-soins-primaires/sante-mentale-maternite-perinatalite/baby-blues
[2] Ameli – Dépression post-partum
https://www.ameli.fr/medecin/sante-prevention/sante-mentale-soins-primaires/sante-mentale-maternite-perinatalite/depression-post-partum-prise-en-charge
Crédits photo : AdobeStock_247236449
L’arrivée d’un bébé dans un foyer est un moment magique et inoubliable, mais aussi une période où les futurs parents peuvent se sentir un peu perdus face à la multitude de préparatifs à effectuer.
Se préparer à accueillir cet enfant mentalement, physiquement avec la préparation à l’accouchement, mais aussi sur le plan matériel ! Et ce dernier point peut soulever pas mal de questions, surtout pour l’arrivée d’un premier bébé…
Que faut-il prévoir en priorité ? Faut-il tout acheter avant la naissance ? Est-il nécessaire de faire une liste de naissance ? Si la réponse à cette question est clairement non, on ne peut que vous encourager à prendre le temps de faire une liste de naissance, et nous allons voir pourquoi dans cet article !
Pourquoi créer une liste de naissance ?
Vous ne l’ignorez pas, il est d’usage de faire un cadeau de naissance à l’arrivée d’un bébé dans un foyer. Si vous ne donnez aucune indication à votre entourage (famille, amis, collègues de travail), vous risquez tout simplement de vous retrouver avec une cargaison de doudous en tous genres, de très nombreux vêtements de 0 à 6 mois que votre enfant n’aura peut-être pas le temps de tous porter, si tant est que leur look vous plaise (et oui, les goûts de Tante Gertrude ne correspondent pas forcément à la façon dont vous auriez aimé habiller votre tout-petit !), etc.
Avoir recours à une liste de naissance offre plusieurs avantages : elle vous aide à éviter les doublons, à sélectionner des produits qui vous seront réellement utiles et à votre goût ! C’est l’option idéale pour recevoir exactement ce qu’il vous faut, sans surprise. Et pour vos proches, c’est aussi plus pratique : plus besoin de se creuser la tête, ils savent qu’ils vous feront plaisir en choisissant ce qui leur plaît sur votre liste. Pourquoi ne pas vous laisser guider et créer dès maintenant votre propre liste ?
Créer une liste de naissance : simple et pratique !
Se préparer à l’arrivée de votre bébé n’a jamais été aussi facile grâce aux listes de naissance multimarques en ligne gratuites, telles que :
En quelques clics seulement, vous pouvez créer une liste personnalisée, en y ajoutant tous les produits essentiels pour votre bébé. De la poussette aux produits de soin, des vêtements aux jouets d’éveil en passant par les jolies décorations pour la chambre, vous êtes libre de choisir ce qui vous semble vraiment utile. Une fois votre liste créée, vous n’avez plus qu’à la partager avec vos proches, qui pourront alors choisir parmi les articles que vous avez sélectionnés ! Pas de doublon possible : chacun peut indiquer le ou les cadeaux sélectionnés, qui ne pourront être offerts par quelqu’un d’autre.
L’un des plus grands avantages de la liste de naissance multimarques, c’est la liberté de choix. Pas besoin de vous limiter à un seul magasin : vous avez accès à une large gamme de produits provenant de marques variées, en ligne ou dans des boutiques physiques. Vous pouvez même ajouter des articles de seconde main ou des services pratiques, comme des séances de baby-sitting ou de ménage, ou encore des repas livrés à domicile, si vous pensez que cela pourra vous soulager un peu. Ainsi, vos amis et votre famille peuvent trouver quelque chose qui correspond à leur budget et à leurs envies.
Une fois votre liste prête, il est facile de la partager avec vos proches, qu’ils soient à côté ou à l’autre bout du pays. Pour eux, fini le stress de courir après des idées de cadeaux ! Ils peuvent acheter et vous faire livrer les articles directement à domicile, ou bien y contribuer financièrement si l’un des produits vous manque. Il est également possible pour eux d’aller choisir tel ou tel produit en boutique, afin de garder le plaisir de vous l’offrir en main propre lorsque vous leur présenterez votre nouveau-né. Le meilleur dans tout ça ? La création de votre liste est entièrement gratuite, et vous pouvez la personnaliser à votre guise, avec des photos et un petit message pour expliquer votre démarche à vos proches. Simple, pratique et entièrement adapté à vos besoins !
Comparatif des principaux sites de listes de naissance multi-enseignes
Pour vous aider à choisir la plateforme qui vous correspond le mieux, voici un aperçu des points forts et des particularités de chacune.
Mes Envies séduit par son interface moderne et son large catalogue de plus de 150 marques partenaires.
Son système de cagnotte intégré est particulièrement apprécié pour les gros achats.
P’tit Colis met l’accent sur l’accompagnement avec un service client particulièrement réactif et la possibilité pratique de créer des sous-listes thématiques par pièce ou par âge.
De son côté, Milirose se démarque par sa sélection pointue de marques éco-responsables et son blog riche en conseils.
Enfin, Minipouce propose des fonctionnalités modernes comme le suivi des achats en temps réel et les notifications instantanées lors des contributions, facilitant grandement les remerciements.
Chaque plateforme a ses atouts : à vous de choisir celle qui correspond le mieux à vos attentes !
Quels sont les indispensables à ajouter à votre liste de naissance ?
Pour vous aider à créer votre liste de naissance, voici quelques produits incontournables à y ajouter pour que votre bébé soit bien équipé :
- Vêtements : bodies, pyjamas, bonnets, chaussons, gigoteuses, petites tenues… De quoi faire face à toutes les saisons dans des tailles adaptées et habiller votre bébé de façon confortable et stylée !
- Repas : jolies assiettes et couverts, tasses à bec, etc.
- La chambre : un petit coin cocooning avec un lit confortable, un matelas de qualité, des draps tout doux, ainsi qu’une jolie décoration.
- Livres & jouets : quelques livres et jeux adaptés à chaque âge, pour accompagner l’éveil et les apprentissages de votre tout-petit.
- Le matériel de puériculture : poussette, lit parapluie, siège auto… Indispensables et coûteux, ils peuvent faire l’objet de cadeaux communs pour lesquels chaque membre de votre famille ou d’un groupe d’amis mettra une participation, par exemple !
Ajouter ce type de produits à votre liste vous permettra non seulement de vous préparer sereinement, mais aussi de guider vos proches dans leurs choix de cadeaux.
Des options supplémentaires pour gâter votre bébé (et vous-même !)
La liste de naissance ne se limite pas seulement aux essentiels pour votre bébé. Et si vous pensiez aussi à vous, futurs parents ? L’arrivée d’un bébé est un moment intense et bouleversant, alors pourquoi ne pas vous offrir un peu de confort et de bien-être en ajoutant quelques idées de cadeaux pour vous aussi ?
Des idées pour les futurs parents
Un joli cadeau pour la jeune maman, comme de jolis vêtements d’allaitement confortables, des accessoires pratiques (coussin d’allaitement…), des articles de bien-être (crème pour le corps) ou encore une séance de massage peuvent être de belles attentions. Après tout, vous aussi méritez de vous sentir bien pendant cette période de transition !
Des services pratiques
Pourquoi ne pas inclure des services dans votre liste de naissance ? Une aide ménagère ou des repas livrés à domicile pour vous alléger des tâches domestiques, peuvent être des cadeaux qui vous apporteront un soutien précieux pendant cette aventure.
Ces ajouts permettront à vos proches de vous gâter tout autant qu’ils gâteront votre bébé, et vous aideront à traverser cette période de la manière la plus sereine et agréable possible. Pourquoi ne pas profiter de chaque moment, pour vous et votre bébé ?
Comment bien organiser votre liste de naissance ?
Une fois que vous avez une idée des produits à ajouter à votre liste de naissance, l’organisation devient clé pour que tout soit clair et facile à consulter pour vos proches.
Tri et organisation
Pour éviter la confusion et faciliter le choix des cadeaux, il est essentiel de structurer votre liste. Vous pouvez classer les produits par catégorie, comme les vêtements, les articles de soin, ou l’aménagement de la chambre. Une autre option est de les organiser en fonction de l’urgence de leur nécessité. Par exemple, certains produits seront à avoir immédiatement après la naissance, tandis que d’autres pourront être ajoutés plus tard, lorsque votre bébé grandira.
Personnalisez votre liste
Pour rendre votre liste encore plus unique, n’hésitez pas à y ajouter des petites touches personnelles. Une jolie photo de votre bébé une fois qu’il est né, un message chaleureux expliquant pourquoi vous avez fait le choix de créer cette liste, ou même des petites notes pour indiquer vos préférences, comme la couleur d’un article ou une marque spécifique, rendront la liste encore plus fun et conviviale.
Avec une liste bien organisée et personnalisée, vos proches auront tout ce dont ils ont besoin pour choisir le cadeau parfait pour votre bébé tout en vous accompagnant dans cette belle aventure !
Partagez facilement votre liste de naissance
Partager votre liste de naissance n’a jamais été aussi simple et pratique !
- Simple et pratique : grâce à un lien unique, vous pouvez envoyer votre liste par e-mail ou la partager directement sur vos réseaux sociaux. Fini les longues recherches pour savoir ce qui manque ou ce qu’il faut acheter. Vos proches n’ont qu’à consulter la liste, choisir un cadeau parmi ceux que vous avez sélectionnés et l’acheter en quelques clics. Tout est déjà organisé, plus de stress !
- Les contributions financières : pour ceux qui préfèrent offrir une contribution plutôt qu’un produit physique, c’est tout à fait possible ! En quelques clics, vos proches peuvent participer à une cagnotte, ou encore financer un cadeau plus coûteux, comme un meuble ou un équipement de puériculture coûteux. Vous aurez ainsi l’opportunité de collecter des fonds pour compléter vos achats ou recevoir ce dont vous avez vraiment besoin. Simple, rapide, et totalement flexible !
Partager votre liste de naissance devient un jeu d’enfant, et vous pourrez vous concentrer sur ce qui compte vraiment : l’arrivée de votre bébé !
Liste de naissance multimarques : la liberté de choisir !
Opter pour une liste de naissance multimarques, c’est s’offrir une totale liberté de choix ! Vous n’êtes pas limité à une seule enseigne ou à un seul style. Vous pouvez sélectionner des produits de différentes marques et boutiques, en ligne ou hors ligne, offrant ainsi une variété de prix, de designs et de fonctionnalités pour répondre à tous vos besoins.
Que vous cherchiez des articles tendance, des produits pratiques ou encore des équipements haut de gamme, des articles de grandes marques ou des produits plus abordables, la liste multimarques vous permet de composer une sélection qui vous ressemble, sans compromis.
De plus, grâce à ces options, vous avez accès à des réductions et des promotions exclusives sur de nombreux produits, ce qui vous permet de faire des économies tout en choisissant ce qu’il vous semble le mieux pour votre bébé. Une belle manière de combiner qualité, variété et économies pour une liste de naissance réussie !
Livraison pratique directement à domicile
Un autre grand avantage de la liste de naissance multimarques est la possibilité de profiter de la livraison directement à domicile. Finis les trajets dans les magasins bondés à la recherche de produits spécifiques : grâce à votre liste de naissance, vos proches peuvent acheter en ligne et se faire livrer les articles que vous avez sélectionnés, où que vous soyez. Que vous soyez proches ou éloignés géographiquement, vos amis et votre famille peuvent contribuer à l’arrivée de votre bébé sans contraintes.
Prêts à commencer votre liste de naissance ?
Simple et pratique, votre liste de naissance est à portée de main ! En quelques clics, vous pouvez créer une sélection personnalisée pour préparer l’arrivée de votre bébé en toute sérénité.
N’attendez plus !
Crédits photo : AdobeStock_972539377
Les fêtes de fin d’année, avec leurs tables festives et leurs mets savoureux, sont une période attendue avec impatience. Mais pour les femmes enceintes, cette période peut aussi susciter des questions et des préoccupations. Entre les envies gourmandes qui se multiplient et les recommandations médicales à suivre pour protéger le bébé que vous portez, le défi est de taille : comment savourer les plaisirs des repas de fête tout en veillant à une sécurité alimentaire irréprochable ?
Dans cet article, nous vous guidons à travers les choix d’aliments autorisés, les précautions à prendre, et les alternatives gourmandes pour que Noël et le Nouvel An restent des moments agréables et sans prise de tête, malgré les contraintes liées à votre grossesse !
Les risques alimentaires spécifiques à la grossesse
Pendant la grossesse, l’alimentation de la future maman joue un rôle crucial pour la santé et le développement du bébé. Cependant, certains aliments peuvent être porteurs de bactéries ou de parasites dangereux, pouvant provoquer des infections graves. Une vigilance particulière est donc nécessaire, surtout pendant les fêtes, où les repas sont généralement plus riches et composés de mets spécifiques, souvent peu compatibles avec la grossesse si on ne prête pas attention à certains critères de choix (saumon, foie gras, etc.).
Pendant la grossesse, certaines infections transmises par l’alimentation peuvent avoir des conséquences graves pour la santé de la future maman et du bébé :
Toxoplasmose : causes, risques pour le bébé et précautions
La toxoplasmose est une infection parasitaire pouvant avoir des conséquences graves sur le fœtus si la mère n’est pas immunisée. Elle peut entraîner des malformations, des retards de croissance, ou, dans les cas les plus graves, une mort in utero.
La toxoplasmose peut être contractée en consommant des légumes ou des fruits mal lavés, ou des viandes, poissons ou œufs insuffisamment cuits. Pour l’éviter :
- Lavez soigneusement vos fruits et légumes, même ceux prêts à consommer.
- Ne consommez vos viandes, poissons et œufs que s’ils sont bien cuits à cœur.
- Évitez tout contact direct avec la terre et demandez à une autre personne de changer la litière du/des chats si vous en avez.
Listériose et salmonellose : conséquences et prévention
La listériose et la salmonellose sont deux autres infections à surveiller de près. Transmises par des aliments contaminés, elles peuvent avoir des conséquences graves : contractions prématurées, accouchement prématuré, voire infection du nouveau-né.
- Listériose : causée par la bactérie Listeria monocytogenes, elle peut se développer dans des produits crus ou mal conservés comme les charcuteries, les poissons fumés ou les fromages au lait cru.
- Salmonellose : cette infection se manifeste par des troubles digestifs sévères. Si elle est généralement bénigne pour la femme enceinte, elle peut entraîner des complications telles qu’une déshydratation ou des contractions. Le risque principal réside dans la possibilité de transmission de l’infection au fœtus si elle dépasse la barrière placentaire, pouvant entraîner des complications pour le bébé, comme la listériose et la toxoplasmose[1].
Pour prévenir ces infections, il est recommandé de privilégier des aliments bien cuits et de respecter des règles strictes d’hygiène (lavage des mains, conservation des aliments au froid, cuisson adéquate).
Quels sont les aliments à risque durant les fêtes de fin d’année ?
Lors des fêtes de fin d’année, plusieurs aliments festifs prisés peuvent constituer un danger pour les femmes enceintes, nécessitant une attention particulière pour éviter tout risque sanitaire pour le bébé qu’elles portent.
Les aliments crus ou insuffisamment cuits
Les fêtes mettent souvent à l’honneur des plats raffinés, mais certains aliments doivent être évités pendant la grossesse en raison du risque de contamination :
- Foie gras mi-cuit artisanal ou fait-maison
- Charcuteries crues ou artisanales : jambons crus, rillettes, saucissons.
- Poissons et crustacés crus ou fumés : huîtres (les huîtres cuites sont également à éviter), sushis, saumon fumé.
- Viandes insuffisamment cuites : carpaccio, steak tartare, mais aussi viandes cuites saignantes.
Les fromages au lait cru, et préparations ou desserts contenant des oeufs crus
- Fromages au lait cru et à pâte molle : brie, camembert, roquefort, gorgonzola, etc.
- Œufs crus ou insuffisamment cuits : évitez les préparations maison contenant des œufs crus, comme la mayonnaise, les mousses ou certaines crèmes pâtissières.
- Desserts et pâtisseries maison : s’ils contiennent des œufs crus ou peu cuits (mousse au chocolat, tiramisu, iles flottantes…), ils présentent un risque.
Ces précautions permettent aux futures mamans de profiter des fêtes tout en assurant la sécurité de leur bébé. Rassurez-vous, des alternatives existent pour vous faire plaisir malgré ces contraintes !
Les alternatives et aliments festifs sûrs
Pendant les fêtes, il est possible de savourer des mets délicieux tout en respectant les recommandations de sécurité alimentaire spécifiques à la grossesse. Voici les aliments festifs que vous pouvez consommer sans risque, ainsi que quelques alternatives pour vous permettre de profiter pleinement des repas de fêtes. Vous pourrez ainsi vous faire plaisir, tout en restant sereine !
Les fromages autorisés
De trop nombreuses femmes enceintes s’interdisent de bons fromages par peur de mal faire, se grattant la tête lorsque le plateau de fromage arrive sur la table… Or, une fois les informations bien en tête pour prendre certaines précautions, les fromages peuvent rester pour vous un véritable plaisir durant les repas de fête !
Une règle d’or : à partir du moment où les fromages sont à pâte dure (ou pâte pressée cuite, ce qui permet de tuer les bactérie) comme le comté (hmmm un vieux comté bien affiné, quel régal !), l’emmental ou encore le gouda, il n’y a aucundanger pour les femmes enceintes, même s’ils sont au lait cru !
Par ailleurs, tous les fromages fabriqués à base de lait pasteurisé peuvent également être consommés sans crainte. Mais cela nécessite d’’voir l’’information, ce qui n’est pas toujours évident lorsqu’on n’est pas chez soi.
Enfin, les fromages cuits dans des plats tels que la raclette ou la tartiflette, toute tarte ou gratin sont aussi une excellente option, car la cuisson à haute température détruit les éventuelles bactéries. Il est donc possible de profiter de ces mets prisés en hiver, tout en sachant qu’ils permettent à votre bébé de rester en sécurité.
Foie gras et produits à base de foie
Le foie gras est souvent une star des repas de fêtes, mais la sécurité alimentaire est primordiale. Le foie gras industriel bien cuit et pasteurisé est la seule option sûre pendant la grossesse. Vous ne le trouverez pas au rayon frais, car seul le processus de stérilisation lui permet d’être conservé et commercialisé à température ambiante. Vous pouvez le consommer sous forme de terrines ou de bocaux “pasteurisés” / “stérilisés”, ces mentions garantissant qu’il ne présente aucun risque.
En revanche, il est essentiel d’éviter le foie gras mi-cuit ou cru (poêlé très peu cuit), car il n’a pas été suffisamment chauffé pour éliminer les bactéries dangereuses, comme la listeria ou le toxoplasme. Ainsi, si du foie gras poêlé est au menu des fêtes de fin d’année, veillez à ce que la portion qui vous sera servie soit particulièrement bien cuite (le foie gras doit être bien cuit à cœur).
Enfin, si vous avez des inconforts digestifs et souhaitez opter pour des plats plus légers, les alternatives végétales, comme les terrines de légumes ou de champignons, ainsi que les pâtés à base de poisson bien cuits, sont également des choix intéressants pour remplacer le foie gras traditionnel.
Viandes, poissons et fruits de mer autorisés
Les viandes et poissons doivent impérativement être bien cuits pour garantir votre sécurité et celle du bébé pendant la grossesse.
Les viandes rouges, comme le bœuf ou l’agneau, ainsi que les poissons doivent être totalement cuits à cœur.
Quant aux fruits de mer / crustacés, privilégiez les versions cuites, comme les crevettes ou les langoustines. Les huîtres, quant à elles, sont à bannir lors de votre grossesse, qu’elles soient crues ou cuites.
N’hésitez pas à imprimer ce petit mémo réalisé par les experts du site mpedia.fr[2] sur les aliments autorisés, déconseillés et interdits au cours de la grossesse, que vous pourrez télécharger en vous rendant directement sur leur site :
Conseils pour un menu festif adapté à votre grossesse
Un menu festif pendant la grossesse peut être à la fois délicieux, varié et parfaitement adapté à vos besoins alimentaires. Voici quelques conseils pour envisager un repas équilibré, savoureux et sans risque pour votre bébé, tout en restant dans l’esprit des fêtes.
Le menu de fête idéal
Pour un repas de fête sécurisé et gourmand, voici quelques idées d’entrées, de plats principaux et de desserts qui respectent les recommandations alimentaires pendant la grossesse.
- Entrées : optez pour des veloutés de légumes de saison (courge butternut, potimarron, etc.), qui sont non seulement savoureux mais aussi nourrissants.
Les crevettes cuites accompagnées d’une mayonnaise industrielle (dans laquelle les œufs sont pasteurisés) peuvent être un choix festif et sans danger.
Rappel : évitez les entrées contenant des produits crus, comme les tartares ou le saumon fumé. - Plats principaux : une dinde farcie aux légumes (aux champignons, des morilles, par exemple) est une option idéale, offrant une viande bien cuite et des légumes frais pour un repas équilibré.
Les plats mijotés, comme un pot-au-feu ou un ragoût de bœuf, sont également une excellente alternative : ils sont savoureux, nourrissants et garantissent une cuisson des viandes à cœur. - Desserts : les bûches glacées sont une excellente alternative aux bûches traditionnelles qui peuvent contenir des œufs crus.
Les gâteaux et autres desserts peuvent contenir des œufs à partir du moment où ils sont cuits.
Il est également possible de vous tourner vers des desserts à base de fruits crus ou cuits (bien lavés au préalable) ou de chocolat. Pourquoi pas une fondue au chocolat ?
Côté boissons : sans alcool, la fête est plus folle !
Pour certains, les fêtes ne semblent pas complètes sans boissons festives… Néanmoins, la règle est simple pour garantir la bonne santé de votre bébé : zéro alcool pendant la grossesse. Heureusement, il existe aujourd’hui de nombreuses options sans alcool pour vous permettre de trinquer en toute sécurité :
- Les champagnes sans alcool, désormais largement disponibles, offrent la même effervescence et le même côté festif qu’un champagne traditionnel.
- Vous pouvez également opter pour des mocktails, ces cocktails sans alcool réalisés à partir de fruits frais, d’herbes et de sirops naturels.
- Les eaux pétillantes aromatisées, comme celles au citron ou à la framboise, sont aussi une alternative agréable et rafraîchissante, parfaite pour accompagner vos repas de fête tout en restant hydratée.
Ces choix sont non seulement adaptés à la grossesse mais apportent aussi de la variété dans vos boissons de fête. Ainsi, pas de monotonie !
Nos derniers conseils pour une fête sereine
Pendant les fêtes, il est important de profiter des repas et des festivités tout en prenant soin de vous et de votre bébé. Voici quelques conseils pratiques pour vous aider à gérer votre alimentation et vivre ces moments de manière sereine et agréable.
Gérer les excès pour une digestion facilitée
Les fêtes sont souvent synonymes de repas copieux et de tentations culinaires. Toutefois, pour éviter les désagréments digestifs, la modération reste essentielle.
En effet, les aliments gras et les boissons gazeuses peuvent entraîner des ballonnements, des douleurs abdominales ou des brûlures d’estomac.
Pour limiter ces inconforts, il est conseillé de privilégier des portions raisonnables, et de ne pas hésiter à faire des pauses entre les plats pour faciliter la digestion.
Les astuces pour limiter les brûlures d’estomac et nausées : si vous êtes sujette aux brûlures d’estomac, pensez à manger lentement et à bien mastiquer vos aliments. Évitez les aliments trop épicés ou acides et privilégiez, autant que possible, des plats légers.
En cas de nausées, il peut être utile de boire de l’eau chaude ou une tisane à la menthe, qui aide à apaiser l’estomac. Vous pouvez aussi tester de surélever votre matelas au niveau de la tête, afin de dormir avec le buste légèrement incliné si vous ressentez des reflux, cela peut favoriser la digestion.
Prévenir les frustrations culinaires
Il est tout à fait normal de ressentir des frustrations en raison des restrictions alimentaires pendant la grossesse, surtout pendant les fêtes où la tentation est plus grande.
Pour gérer cette possible frustration, essayez de trouver des alternatives pour adapter, autant que possible, les plats à vos envies : pour assouvir ces dernières tout en respectant les règles alimentaires, n’hésitez pas à demander des ajustements aux plats. Par exemple, si une recette utilise un chabichou du poitou fermier, vous pourrez la réaliser en le remplaçant tout simplement par un fromage de chèvre pasteurisé.
Si vous avez envie de sucreries, optez pour des desserts sans œufs crus, ou optez pour des alternatives plus saines, comme des fruits frais ou cuits.
N’oubliez pas que ces restrictions sont temporaires : bien que certaines restrictions alimentaires puissent être perçues comme contraignantes, il est important de vous rappeler qu’elles ne sont que temporaires et vous permettent de protéger votre bébé.
Après la grossesse, vous pourrez à nouveau profiter des aliments que vous aimez.
Pendant cette période, il est essentiel de vous concentrer sur votre bien-être et celui de votre bébé. Les petits sacrifices que vous faites aujourd’hui vous garantissent une grossesse saine et sécurisée.
En bref, profitez d’une fête gourmande et sans stress !
La grossesse ne signifie pas devoir renoncer aux plaisirs des fêtes. Avec un peu de préparation et de vigilance, il est tout à fait possible de profiter des repas festifs sans compromettre la santé de votre bébé. En choisissant des aliments sûrs, en optant pour des alternatives adaptées et en écoutant votre corps, vous pouvez savourer chaque moment en toute sérénité.
Des choix éclairés permettent de se régaler tout en préservant la santé de votre bébé. En prenant soin de bien équilibrer vos repas et en respectant les recommandations sanitaires, vous vivrez des fêtes joyeuses et en toute sécurité, sans stress ni culpabilité.
Enfin, rappelez-vous que cette période est temporaire. L’année prochaine, vous pourrez profiter des mets que vous aimez, avec votre bébé à vos côtés, et vivre pleinement toutes les traditions culinaires des fêtes.
L’équipe du salon Abc kidz vous souhaite de merveilleuses fêtes de fin d’année !
Sources
[1] Santé.fr – Salmonellose enceinte, comment l’éviter ?
[2] mpedia.fr – Grossesse : quels aliments sont autorisés ?
Nous vous offrons un Kit Empreinte Magic Box, parfait pour immortaliser les empreintes des petites mains ou des petits pieds de votre bébé.
Caractéristiques
- Souvenir unique : créez une empreinte durable des mains ou des pieds de votre bébé, personnalisable avec son prénom.
- Contenu du kit : boîte en métal élégante, support en plastique, pâte à empreinte hypoallergénique, rouleau en bois pour étaler la pâte.
- Sans danger pour bébé : matériaux testés dermatologiquement, doux pour la peau.
- Facilité d’utilisation : pas de cuisson, aucun autre matériel nécessaire, et une empreinte parfaite en seulement 2 minutes (hors séchage).
- Dimensions : 18 x 18 x 4 cm, idéal pour une décoration intemporelle.
Comment participer ?
Pour tenter votre chance, c’est très simple ! Suivez ces 4 étapes :
- Suivez @abc.kidz sur Instagram.
- Taguez 2 ami(e)s qui pourraient être intéressé(e)s en commentaire du post Instagram dédié.
- Complétez le formulaire ci-dessous.
- Pensez à confirmer votre participation dans le mail reçu !
Le jeu-concours étant terminé, le formulaire n’est plus en ligne.
Fin du jeu-concours
Inscriptions : jusqu’au jeudi 19 décembre à minuit
Annonce du résultat : le vendredi 20 décembre sur notre page Facebook et compte Instagram Abc kidz.
Pourquoi choisir le Kit Empreinte Magic Box ?
Avec le Kit Empreinte Magic Box, capturez un souvenir unique et précieux des premiers moments de votre bébé.
Un souvenir précieux et durable
- Personnalisable : ajoutez le prénom de votre bébé pour un souvenir encore plus émouvant.
- Conception rapide et simple : en 2 minutes seulement, réalisez une empreinte parfaite, sans effort ni matériel supplémentaire.
Pratique et sûr
- Sans danger : la pâte hypoallergénique garantit une utilisation en toute sécurité pour votre bébé.
- Design élégant : livré avec une boîte en métal sobre et chic et un support en plastique pour l’exposer fièrement dans votre intérieur.
Avec le Kit Empreinte Magic Box, conservez un souvenir intemporel de votre bébé, un cadeau précieux à partager ou à garder pour vous-même.
Bonne chance à toutes et à tous !
Nous vous offrons un superbe porte-bébé Love Radius Hoodie-Carrier 2 Leozebra, d’une valeur de 135€ !
Caractéristiques
- Âge de l’enfant : 0 à 36 mois
- Positions de portage : devant, côté, dos
- Ajustabilité : assise de 11 à 38 cm
- Motif : leozebrea (édition limitée)
Comment participer ?
Rien de plus simple pour tenter votre chance ! Suivez ces 4 étapes :
- Suivez Abc kidz et Love Radius sur Instagram
- Taguez deux ami(e)s qui pourraient être intéressé(e)s en commentaire du post Instagram
- Complétez le formulaire ci-dessous
- Pensez à confirmer votre participation dans le mail reçu !
Le jeu-concours étant terminé, le formulaire n’est plus en ligne.
Fin du jeu-concours
Inscriptions : jusqu’au mardi 3 décembre à minuit
Annonce du résultat : le mercredi 4 décembre sur notre page Facebook et compte Instagram Abc kidz.
Pourquoi choisir le porte-bébé Hoodie Carrier 2 ?
Le porte-bébé Hoodie-Carrier 2 est conçu pour évoluer avec votre enfant, de la naissance à 36 mois, en respectant parfaitement sa physiologie et en s’adaptant à chaque étape de sa croissance.
Grâce à son design inspiré de l’écharpe de portage, il offre un cocon doux et rassurant pour bébé, tout en assurant un confort optimal pour le porteur.
Un ajustement précis et ergonomique
- Assise ajustable : de 11 cm (pour les nouveau-nés) à 38 cm (pour les grands bébés), sans accessoire supplémentaire et en quelques secondes.
- Partie centrale réglable : s’ajuste en hauteur pour s’adapter à la taille de votre enfant à chaque âge.
- 2 façons de clipser les bretelles :
- de 0 à 4 mois : attachez-les bretelles sous les fesses pour mieux garder sa position enroulée et ses membres regroupés.
- plus de 4 mois : sous les aisselles pour une répartition optimale du poids.
Pratique et élégant
- Tissu souple : inspiré de l’écharpe, il garantit un confort maximal tout en étant adapté à toutes les saisons.
- Accessoires intégrés : têtière pour le maintien de la tête et capuche pour protéger bébé.
- Polyvalent : 3 positions de portage – devant, côté et dos.
Avec son design épuré et son coloris en édition limitée Leozebra, le Hoodie-Carrier 2 est aussi stylé que pratique, un indispensable pour les parents modernes en quête de simplicité et de confort.
Bonne chance à toutes et à tous !
Crédits photos : ©Love Radius
Vous aimez voyager ? Vous rêvez d’un séjour au ski pour les vacances de Noël ? Vous envisagez plutôt de prendre l’avion pour aller chercher un peu de soleil pendant l’hiver ? OUI, même avec un bébé, c’est possible, mais tout dépend de son âge et de la destination souhaitée.
Voyager avec un jeune enfant peut sembler compliqué, mais avec la bonne organisation, c’est tout à fait réalisable. Dans cet article, nous vous donnerons des conseils pratiques pour préparer votre escapade en famille !
À partir de quel âge peut-on voyager avec un bébé ?
Voyager avec un bébé est possible dès la naissance, mais cela dépend du type de voyage envisagé. Pour des déplacements courts, comme des vacances chez des proches, il n’y a généralement pas de contre-indication.
En revanche, pour des voyages plus lointains nécessitant un vol en avion, il est conseillé d’attendre au moins trois semaines, en vous assurant que votre pédiatre n’y voit aucune objection.
Il est également important de veiller à ce que votre bébé soit à jour dans ses vaccinations avant de partir, surtout pour des destinations à l’étranger.
Voyager avec un nourrisson est une expérience unique, mais elle ne doit pas être sous-estimée. En effet, cela nécessite une véritable organisation, notamment pour préparer la valise de votre bébé, en prévoyant tout le nécessaire en fonction de la destination choisie, comme certains accessoires ou médicaments pour le voyage. À vous de voir si vous préférez partir en vacances avec votre bébé dans un cadre relaxant, comme un séjour all inclusive, ou si vous êtes prêts pour une aventure un peu plus mouvementée. Dans tous les cas, sachez que même si vous vous préparez bien, la fatigue peut vite se faire sentir, mais les souvenirs que vous créerez avec votre enfant en valent largement la peine.
Ainsi, bien que chaque famille soit unique et ait ses propres préférences, que vous optiez pour des vacances au ski ou une escapade en bord de mer, avec un bébé, il est essentiel de bien s’organiser et de se préparer afin d’assurer un voyage serein et agréable.
Y a-t-il des destinations à privilégier ?
Il n’existe pas de réponse unique à la question des destinations à privilégier lors de voyages avec un bébé. Cela dépend avant tout des envies et des goûts des parents, mais également de l’âge et des besoins spécifiques de l’enfant. Par exemple, si votre bébé fait encore beaucoup de siestes, il est préférable de choisir une destination où les horaires de voyage ne perturbent pas son rythme. De plus, pour les bébés en bas âge, il est conseillé d’éviter les changements de climat trop radicaux.
L’âge de votre enfant est un facteur déterminant : tant qu’il ne marche pas encore avec assurance, les longs trajets sont généralement plus faciles jusqu’à 11 mois environ. Après cette période, les vols longs courriers peuvent devenir plus complexes, car votre bébé commencera à bouger davantage. À moins d’être prêts à rester éveillés et actifs pendant une bonne partie du vol, il pourrait être judicieux de privilégier des destinations plus proches.
Il est également crucial de considérer la santé de votre enfant. Assurez-vous que ses vaccinations sont à jour et, selon la destination choisie, qu’aucune vaccination supplémentaire n’est nécessaire. Pensez également à d’éventuelles allergies qui pourraient influencer votre choix de destination.
En fin de compte, la clé pour un voyage réussi avec votre bébé réside dans l’organisation et l’anticipation de ses besoins. Que vous optiez pour la plage, la montagne ou une escapade citadine, veillez à préparer les indispensables, comme les médicaments pour le voyage, et à adapter vos choix d’activités en fonction des conditions locales.
Hiver ou destination froide : activités et précautions
Partir en vacances dans une destination froide peut offrir des moments magiques et uniques à partager en famille, même si votre bébé n’en gardera pas de souvenirs. Ces escapades hivernales deviennent en revanche des souvenirs inoubliables pour les enfants plus grands. Que vous optiez pour une station de ski, un chalet dans un village enneigé ou une ville européenne illuminée pour les festivités de Noël, il existe de nombreuses activités adaptées aux tout-petits.
Des activités à découvrir ensemble
L’hiver offre une multitude d’opportunités pour émerveiller votre bébé. Les balades dans la neige, bien emmitouflé dans une poussette équipée d’une chancelière (sur un sentier déneigé, bien sûr !) ou dans un porte-bébé ergonomique, permettent de découvrir des paysages enchanteurs. Les marchés de Noël, présents dans de nombreuses villes d’Europe comme Prague, Strasbourg ou Vienne, permettent de se plonger dans une ambiance féerique avec leurs lumières, musiques et senteurs qui stimuleront les sens de votre enfant.
Si vous séjournez près d’une station de ski, vous pourrez profiter d’activités adaptées aux familles, comme les balades en raquettes ou les initiations à la glisse pour les plus grands. Les promenades dans les villages enneigés, la construction de bonhommes de neige ou les batailles de boules de neige sont également des moments simples mais mémorables à partager. Pour varier, explorez des espaces intérieurs comme des musées adaptés aux enfants, des piscines chauffées ou participez à des ateliers créatifs. Ces options sont idéales pour les journées où le froid est trop intense.
Combiner activités et repos
Pour profiter pleinement des vacances, il est important d’alterner les moments d’activités et de repos. Les journées bien remplies peuvent fatiguer rapidement un tout-petit, surtout dans un environnement froid. En planifiant soigneusement votre voyage, en combinant des sorties en extérieur et des moments de détente en intérieur, vous pourrez profiter des plaisirs de l’hiver tout en veillant au bien-être de votre bébé. Que ce soit dans un chalet à la montagne, une ville européenne illuminée ou un village enneigé, ces moments partagés resteront gravés dans vos mémoires et deviendront de précieux souvenirs familiaux.
Partir en altitude avec bébé : est-ce possible ?
Si vous envisagez un séjour en montagne, l’idéal est de ne pas dépasser 2000 mètres d’altitude, car les bébés sont sensibles aux variations de pression qui peuvent affecter leur confort et leur santé. Si vous vous rendez néanmoins dans un lieu à plus de 2000m d’altitude, veillez à monter par paliers, en faisant des pauses tous les 500 mètres afin de proposer le sein ou le biberon à votre bébé. L’objectif de ces paliers ? Le faire déglutir afin de détendre ses tympans pour qu’ils s’acclimatent progressivement à l’altitude.
Comment le protéger du froid ?
Voyager dans le froid avec un bébé nécessite une préparation minutieuse pour assurer son confort et sa sécurité. L’objectif est de prévenir tout risque d’hypothermie, les nourrissons étant plus sensibles que les adultes aux variations de températures.
Qu’est-ce que l’hypothermie ?
D’après mpedia, site de l’AFPA (Association Française de pédiatrie ambulatoire) destiné au grand public, l’hypothermie est une situation médicale potentiellement grave qui survient lorsque la température corporelle chute en dessous des niveaux normaux requis pour un fonctionnement métabolique optimal. Chez le bébé, cette situation est particulièrement préoccupante en raison de son incapacité à réguler efficacement sa propre température corporelle. En effet, les nouveau-nés et les nourrissons sont dotés de mécanismes de thermorégulation encore immatures, ce qui les rend plus vulnérables aux fluctuations de température corporelle.
Comment couvrir votre tout-petit ?
Habillez-le en superposant plusieurs couches de vêtements afin de pouvoir les ajuster selon la température. Basez-vous sur ce que vous portez vous-même et ajoutez une couche de vêtement supplémentaire pour votre enfant. Protégez particulièrement les extrémités – pieds, mains et tête qui sont les parties du corps les plus exposées au froid – avec des accessoires adaptés, comme des chaussons, gants et bonnets bien chauds.
Si vous utilisez une poussette, pensez à équiper celle-ci d’une protection contre la pluie qui sera également efficace contre le vent glacial de l’hiver. De plus, il est utile d’investir dans une combinaison pilote ou une chancelière (couverture spéciale pour poussette) qui garde bébé au chaud tout en étant facilement ajustable.
Soyez attentifs aux signes de froid chez votre bébé, comme une peau pâle ou froide, et évitez les activités extérieures par temps très venteux ou en cas de températures extrêmes.
En résumé, bien protéger votre bébé du froid nécessite une préparation soignée et des ajustements en fonction des conditions climatiques. Assurez-vous d’avoir tout le nécessaire pour que votre enfant reste au chaud tout au long de vos vacances d’hiver.
Si vous partez en été/vers une destination ensoleillée
Les destinations ensoleillées sont parfaites pour des vacances en famille avec un bébé, offrant un cadre relaxant et des activités adaptées aux tout-petits. Que vous choisissiez une région côtière, un lac ou une campagne baignée de soleil, ces lieux permettent de profiter de moments de détente tout en répondant aux besoins de votre enfant.
Activités adaptées aux tout-petits
Les balades sur des plages calmes, les jeux dans le sable ou les promenades ombragées le long d’un sentier côtier sont idéales pour éveiller les sens de bébé. Pour varier les plaisirs, des activités comme un pique-nique sous un arbre ou une visite dans un parc naturel offrent un cadre apaisant et stimulant. Si votre hébergement dispose d’une piscine sécurisée, cela peut être un excellent moyen de faire découvrir l’eau à votre tout-petit, toujours sous surveillance.
Précautions pour le soleil
Lors de vos vacances sous le soleil, il est essentiel de bien protéger votre bébé. Habillez-le avec des vêtements légers et couvrants en tissu respirant, un chapeau à large bord et appliquez une crème solaire à indice élevé (SPF 50). Prévoyez des lunettes de soleil adaptées aux jeunes enfants et un espace ombragé, comme un parasol ou une tente pour bébé, afin de limiter l’exposition directe au soleil. Par ailleurs, limitez au maximum toute exposition entre 11 heures et 16 heures, lorsque le soleil est au zénith. Qu’il soit allaité ou nourri au biberon, hydratez-le régulièrement.
Avec une organisation adaptée, partir vers une destination ensoleillée, été comme hiver, peut être une aventure agréable et enrichissante. Ces vacances offrent un équilibre parfait entre détente pour les parents et découvertes pour le bébé, tout en créant de précieux souvenirs partagés en famille.
Bien préparer un long voyage avec votre bébé : voiture, train, avion
Préparer un long voyage avec bébé nécessite une planification minutieuse pour garantir un trajet confortable et sans stress pour toute la famille. Que vous partiez en vacances en voiture, en train ou en avion, chaque mode de transport présente, avec un tout-petit, des défis spécifiques qu’il est important d’anticiper.
Voyager en voiture avec votre bébé
Pour les voyages en voiture, assurez-vous que votre véhicule (notamment s’il s’agit d’une voiture de location) puisse être équipé d’un siège auto adapté à l’âge de votre bébé et que les trajets prévus vous offrent la possibilité de faire suffisamment de pauses pour, en fonction de son âge, répondre à ses différents besoins : tétées, changements de couches, se dégourdir les membres (ce qui reste important même si votre enfant ne marche pas encore !). Emportez un sac avec tous les essentiels : couches, lingettes, vêtements de rechange et jouets pour divertir votre bébé pendant le trajet. Prévoyez également des en-cas et des boissons pour vous et votre enfant, ainsi qu’un accessoire pour réchauffer les repas si nécessaire.
Partir en vacances en train avec votre bébé
Voyager en train peut être une option pratique et moins fatigante, tant que vous n’êtes pas trop chargés. Elle offre l’avantage de permettre à toute la famille de bouger un peu plus au cours du trajet ! Réservez vos billets à l’avance pour obtenir des places adaptées aux familles et renseignez-vous sur les services offerts à bord. Emportez un porte-bébé ou une poussette légère et un sac avec les indispensables pour bébé.
Prendre l’avion avec votre bébé
Pour les voyages en avion, la préparation est cruciale pour minimiser les désagréments. Réservez des sièges en avance et optez pour une place avec un berceau si possible. Préparez un sac de voyage avec tout le nécessaire pour bébé : biberons si vous n’allaitez pas, nourriture, lingettes et couches et quelques jouets pour distraire votre bébé pendant le vol. Renseignez-vous sur les politiques de l’aéroport et de la compagnie aérienne concernant les équipements pour bébé, et arrivez tôt pour gérer les formalités sans stress.
En bref, bien préparer un long voyage avec bébé implique de choisir le bon mode de transport, de réserver à l’avance, et d’emporter tout le nécessaire pour que le trajet soit le plus agréable possible. Avec une bonne organisation et nos conseils pratiques, vous pouvez rendre le voyage en famille plus confortable et agréable, peu importe la destination.
Comment choisir un hébergement adapté ?
Choisir un hébergement adapté est essentiel pour garantir des vacances sereines avec votre bébé, que vous vous rendiez dans une destination froide ou ensoleillée. La clé est de trouver un logement qui répond à vos besoins spécifiques et offre un cadre confortable pour toute la famille.
Privilégiez des hébergements équipés pour accueillir les jeunes enfants : lit bébé, chaise haute, espace pour préparer les repas et éventuellement des options comme un chauffe-biberon ou un micro-ondes. Ces éléments facilitent grandement votre quotidien en vacances. Vérifiez également les avis en ligne pour évaluer la qualité des services et l’accueil réservé aux familles.
Peu importe la destination, optez pour un hébergement proche des activités principales. En hiver, cela pourrait signifier un chalet près des pistes ou des marchés de Noël. En été, choisissez une location proche de la plage, d’un lac ou d’un parc naturel. Réduire les déplacements permet de passer plus de temps à profiter et moins à s’organiser.
Pour une destination froide : assurez-vous que le logement est bien isolé et dispose d’un système de chauffage performant pour garder bébé au chaud. Une résidence ou un hôtel avec une piscine chauffée ou un espace intérieur dédié aux enfants peut offrir des options idéales pour les jours très froids.
Pour une destination ensoleillée : privilégiez un hébergement bien ventilé ou climatisé, avec des espaces ombragés pour bébé. Une piscine adaptée aux tout-petits et sécurisée, un jardin ou une terrasse protégée peuvent être des atouts appréciables.
Si vous voyagez avec beaucoup d’équipements pour bébé, comme une poussette ou un lit parapluie, choisissez un hébergement facilement accessible (ascenseur, parking à proximité). Si vous prenez l’avion ou le train, vérifiez que le logement est proche des gares, aéroports ou points de transport principaux et qu’il peut fournir tous ces équipements, afin de vous éviter de les transporter.
Certains hôtels ou locations de vacances proposent des services spécifiques pour les familles, comme des aires de jeux, des garderies ou des baby-sitters. Ces options peuvent ajouter un niveau de confort et vous permettre de profiter pleinement de vos vacances.
Bien anticiper les repas de votre tout-petit
Adapter les repas chauds pour bébé en voyage nécessite un peu de préparation, mais c’est tout à fait faisable avec une bonne organisation. Que vous partiez en vacances en avion, en voiture ou en train, il est essentiel de tout planifier à l’avance pour garantir que votre bébé bénéficie de repas nutritifs et bien préparés. Si vous partez en vacances avec un nourrisson de moins de 4 à 5 mois (début de la diversification alimentaire), c’est la période la plus facile à gérer, surtout si vous allaitez ! Au-delà de cet âge, vous pouvez prévoir un petit sac isotherme pour maintenir les repas chauds à la bonne température pendant vos trajets. Si vous n’allaitez pas, pensez à emporter des biberons préremplis avec de l’eau et des boites doseuses de lait infantile, afin de faciliter la préparation des biberons.
Pour les voyages en avion ou en train, il peut être utile de vérifier les services proposés par la compagnie, car certaines offrent des options pour réchauffer les repas pour bébé. En voiture, le plus simple est vous pouvez d’utiliser un chauffe-biberon nomade pour réchauffer les repas. Assurez-vous d’avoir à portée de main des ustensiles pratiques et des contenants adaptés pour servir les repas à votre bébé sans tracas. En vacances, il est également judicieux d’apporter des aliments qui se conservent bien sans nécessiter de réfrigération immédiate, comme des purées de légumes et de fruits en petits pots ou des céréales prêtes à l’emploi. Adapter les repas de votre bébé en voyage demande un peu de réflexion en amont, mais avec les bons accessoires et une bonne préparation, vous pourrez profiter de vos vacances en famille tout en veillant à ce que votre tout-petit mange bien.
Avec quels médicaments partir ?
Pour garantir le confort de votre bébé pendant vos vacances, il est essentiel de partir avec une trousse de médicaments bien pensée.
Voici une liste récapitulative des éléments à emporter et pour quelle raison :
- Thermomètre : pour vérifier si votre enfant a de la fièvre.
- Doliprane (ou équivalent) : en cas de douleur ou de fièvre mal supportée par l’enfant.
- Ibuprofène : pour des douleurs intenses ou une forte fièvre, à administrer en alternance avec le paracétamol.
- Soluté de réhydratation orale : utile en cas de forte chaleur ou de diarrhée, surtout si votre bébé a une perte d’appétit et ne s’hydrate pas suffisamment.
- Sérum physiologique : en doses individuelles pour nettoyer le nez et les yeux.
- Nécessaire pour laver le nez : pipettes de sérum physiologique, bouteille de sérum physiologique avec seringue nasale, ou encore rhino horn ou respimer pour les enfants plus grands.
- Désinfectant et pansements : en cas d’écorchures ou de petites blessures.
- Aspivenin : pour traiter les piqûres ou morsures d’insectes.
- Pince à épiler et tire-tique : pour extraire d’éventuelles échardes ou tiques de la peau.
En fonction de la période ou de la destination, pensez également à ajouter :
- Crème solaire (indice 50) : pour protéger la peau délicate de votre bébé.
- Anti-moustique : adapté à l’âge de l’enfant pour éviter les piqûres.
- Crème apaisante : en cas de piqûres de moustiques.
- Médicament contre le mal des transports : si nécessaire, en cas de voyages en voiture ou en bateau.
En voyage, ne vous inquiétez pas trop : les bébés s’adaptent généralement très vite aux nouveaux environnements si on les y habitue progressivement. C’est surtout nous, les parents, qui devons nous préparer mentalement aux changements. Une bonne organisation et une anticipation des besoins de votre bébé sont la clé pour que toute la famille puisse profiter pleinement des vacances. Pensez à lui raconter en amont du départ toutes les aventures que vous vous préparez à vivre ensemble. Mettre des mots sur les choses aide à s’y préparer. Si vous êtes sereins, il y a de fortes chances pour que votre enfant le soit lui aussi !
Nous vous souhaitons d’excellentes vacances en famille ! Profitez bien de chaque moment ensemble.
La santé mentale des parents est un enjeu important pour le bien-être de tous les membres de la famille, et est encore trop peu considérée. De nombreux parents vivent leurs difficultés dans le secret, pensant être les seuls à les éprouver.
En France, environ 6 % des parents souffrent de burn-out parental, avec un taux plus élevé chez les mères [1]. Ces dernières sont par ailleurs, selon les études, 50 à 80% à être touchées par un baby-blues après l’accouchement, et plus de 16% d’entre elles souffrent d’une dépression du post-partum [2].
Cette réalité souligne l’importance de briser les tabous autour de la santé mentale parentale et d’apporter un soutien aux familles lorsque les parents traversent des périodes difficiles. La santé mentale des parents a en effet des répercussions significatives sur la dynamique familiale, influençant le bien-être émotionnel des enfants et la qualité des relations au sein du foyer.
Dans cet article, nous abordons les défis rencontrés par les parents, les signes à surveiller et quelques astuces pour prendre soin de votre santé mentale, tout en veillant au bien-être familial.
Les défis de la santé mentale des parents
De nombreux parents se mettent, sans le vouloir, une pression énorme pour être “parfaits”. Ils doivent jongler entre les exigences professionnelles, les responsabilités familiales et les attentes sociétales. Cette quête de la perfection peut entraîner un stress chronique, de l’anxiété et même des épisodes dépressifs. Ils peuvent se sentir coincés entre l’envie et la nécessité de répondre aux besoins de leurs enfants, et la volonté de maintenir un équilibre, complexe à trouver, entre leur vie professionnelle et personnelle.
Cette pression est de nos jours amplifiée par la culture de la comparaison sur les réseaux sociaux, où les parents peuvent se sentir “moins bons” que d’autres, qui semblent avoir des vies parfaites. Ce phénomène peut conduire à une perte de confiance en soi et à un sentiment d’isolement. En outre, le manque de soutien social (par exemple, il est de plus en plus rare d’habiter à proximité des grands-parents de la famille, qui peuvent notamment constituer une aide précieuse pour prendre le relais avec les enfants lorsque le besoin s’en fait sentir) et la difficulté à demander de l’aide peuvent exacerber ces sentiments de stress et d’anxiété.
Prévenir le baby clash
Le baby clash désigne l’apparition de tensions, conflits ou disputes au sein du couple dans les mois suivant la naissance d’un enfant. Ces difficultés sont souvent liées aux bouleversements de la vie quotidienne, à la fatigue accumulée, et aux nouvelles responsabilités qui peuvent être sources de stress aussi bien pour la mère que pour le père.
Le retour à la maison avec bébé peut être vécu comme un véritable choc par certains parents : la routine est chamboulée, les habitudes doivent être repensées, les tâches domestiques se multiplient, sans compter les nuits courtes et le manque de sommeil. Cela est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit du premier enfant, avec tout à découvrir et à apprendre et une possible peur de “mal faire”. Ainsi, des tensions importantes peuvent apparaître, et certains couples peinent à surmonter cette épreuve. D’après un sondage réalisé par l’IFOP en 2022 [3], un parent sur deux aurait pensé à se séparer de son conjoint dans les premières années de vie de leur bébé, et 81% d’entre eux affirment se disputer au sujet des tâches parentales et leur répartition au sein du couple.
Pour prévenir et surmonter le baby-clash, une bonne communication dans le couple est primordiale. Elle permet :
- D’exprimer ses sentiments et de connaître les émotions traversées par l’autre pour tenter de mieux les comprendre,
- De chercher ensemble des solutions concrètes aux difficultés rencontrées, sans hésiter à vous faire aider si vous en ressentez la nécessité,
- De remettre le couple au centre de tout en créant ces moments de discussion. Car si votre couple va bien, votre enfant ne s’en portera que mieux.
Qu’est-ce que le burn out parental ?
Le burn-out parental désigne un état d’épuisement physique et émotionnel résultant des exigences liées à la parentalité ressenties comme écrasantes. Cette transition de vie implique des ajustements continus et une disponibilité constante de la part des parents, qui doivent jongler avec des responsabilités multiples tout en faisant face à des attentes parfois irréalistes.
L’absence de soutien, combinée à un niveau élevé de perfectionnisme parental et à des difficultés d’organisation familiale, peut créer un déséquilibre entre les facteurs stressants quotidiens et les ressources disponibles pour y faire face.
Lorsque cette situation perdure, elle peut mener à un burn-out parental, caractérisé par une fatigue extrême, une distance émotionnelle par rapport aux enfants et un sentiment d’inefficacité. Les conséquences de ce burn-out sont profondes, impactant non seulement la santé mentale des parents, mais également la relation de couple et le bien-être des enfants, qui ressentent l’instabilité émotionnelle de leurs parents.
Zoom sur le burn out maternel
Ce phénomène est amplifié chez les mamans par un manque de soutien au quotidien. Selon une étude de l’IFOP, 43% des mères se sentent insuffisamment accompagnées dans la gestion de la vie familiale, un chiffre qui atteint 48% chez celles à faible revenu [4]. Cette absence de soutien aggrave la charge mentale des mères, rendant plus difficile la conciliation entre les responsabilités familiales et personnelles.
De plus, des études montrent que les enfants de parents éprouvant des difficultés émotionnelles sont beaucoup plus susceptibles de présenter des problèmes similaires. Ce phénomène crée un cycle de détresse, où le stress parental impacte le bien-être des enfants, qui, à leur tour, peuvent éprouver des difficultés à gérer leurs propres émotions et leurs relations interpersonnelles. En effet, le stress émotionnel peut entraver leur capacité à s’engager positivement avec leurs pairs et à développer des compétences sociales essentielles.
Il est donc primordial de savoir identifier les périodes de détresse et de chercher du soutien pour préserver le bien-être émotionnel des enfants.
Signes à surveiller
Il est essentiel pour vous, parents, de rester attentifs aux signaux de détresse, pour vous-mêmes comme pour votre conjoint(e), car ceux-ci passent malheureusement souvent inaperçus dans le tumulte de la vie quotidienne.
Diverses situations, qu’elles soient liées au stress au travail, aux défis parentaux ou à d’autres facteurs, peuvent affecter votre santé mentale. Les changements dans votre comportement, comme une irritabilité accrue, une fatigue persistante ou un retrait social, peuvent être des signaux d’alerte importants. De plus, des symptômes d’anxiété excessive ou de tristesse prolongée peuvent nuire à la dynamique familiale et influencer la qualité des interactions parentales et du lien parent-enfant.
Anxiété excessive
L’anxiété excessive est l’un des signes les plus courants de détresse mentale. Les parents peuvent ressentir une inquiétude constante à propos de leur capacité à élever leurs enfants, à faire face aux défis du quotidien ou à répondre aux attentes de la société. Cela peut se manifester par des pensées intrusives, des palpitations cardiaques, ou même des crises de panique. Si un parent semble ressentir une appréhension démesurée face à des situations qui ne devraient pas provoquer de stress, il est important de prendre ce sentiment au sérieux.
Fatigue persistante
La fatigue persistante est un autre indicateur préoccupant. Bien que la parentalité puisse être épuisante, un épuisement chronique qui ne se dissipe pas avec le repos peut signaler un problème de santé mentale sous-jacent. Cette fatigue peut se traduire par une baisse d’énergie, des troubles du sommeil ou une difficulté à se concentrer sur des tâches quotidiennes. Les parents peuvent également se sentir accablés par des responsabilités qui semblaient auparavant gérables, ce qui peut affecter leur capacité à interagir avec leurs enfants et à maintenir un équilibre familial sain.
Irritabilité
L’irritabilité ou des sautes d’humeur fréquentes peuvent également indiquer des problèmes de santé mentale. Un parent qui se sent constamment sur les nerfs ou qui réagit de manière excessive à des situations mineures peut être en détresse. Cette irritabilité peut créer des tensions au sein de la famille, notamment entre partenaires ou avec les enfants, rendant difficile la communication et l’harmonie familiale. Il est important de prendre conscience de ces changements d’humeur et d’en comprendre les origines.
Retrait social
Le retrait social est un autre signe alarmant. Les parents qui s’éloignent de leurs amis, de leur famille ou de leurs activités sociales habituelles peuvent signaler une détresse émotionnelle. Ce retrait peut être un mécanisme d’adaptation face à des sentiments de honte, de culpabilité ou de désespoir. Lorsque la socialisation devient trop difficile ou accablante, il est important d’évaluer les raisons sous-jacentes et de chercher du soutien.
Reconnaître ces signes de détresse mentale est essentiel pour prendre conscience de vos propres besoins en tant que parent. Si l’un de ces indicateurs est présent, il peut être bénéfique de consulter un professionnel de la santé mentale. Une intervention précoce peut non seulement améliorer vptre propre santé mentale, mais également renforcer le bien-être familial dans son ensemble.
Nos astuces : rituels de détente et temps pour soi
Pour préserver votre santé mentale, la clé pour tout parent est de s’accorder du temps pour soi. Dans le tourbillon de la parentalité, il est facile d’oublier l’importance de prendre soin de soi, mais aussi de son couple. Intégrer des rituels de détente dans le quotidien peut avoir un impact significatif sur votre bien-être mental et émotionnel. Voici quelques pratiques à considérer :
Moments de respiration ou de méditation
Prendre quelques minutes chaque jour pour méditer ou pratiquer des exercices de respiration peut aider à réduire le stress et à favoriser la pleine conscience. La méditation permet aux parents de se recentrer, d’évacuer les pensées négatives et de cultiver une attitude positive. Même quelques minutes de respiration profonde peuvent avoir un effet apaisant, aidant à calmer l’esprit et à se préparer à affronter les défis de la journée.
Il peut être utile de créer un espace calme et agréable pour ces moments de méditation, en utilisant des bougies, des huiles essentielles ou de la musique douce. Avec le temps, ces moments deviendront une routine bien-être, permettant de recharger vos batteries mentales.
Activités physiques
L’activité physique est un excellent moyen de libérer des endorphines, souvent appelées « hormones du bonheur », qui améliorent l’humeur et réduisent les niveaux de stress. Que ce soit une promenade dans le parc, une séance de yoga à la maison, ou un cours de danse, chaque forme d’exercice contribue à une bonne santé mentale.
Les parents peuvent choisir des activités qu’ils aiment et les intégrer dans leur emploi du temps. Même une simple marche de 30 minutes peut être revitalisante. De plus, l’exercice peut être un moment de partage en famille, rendant l’activité physique à la fois bénéfique pour vous, le parent, et ludique pour les enfants.
Temps de loisirs
S’accorder un moment pour lire, écouter de la musique ou s’adonner à un hobby est un moyen simple de se ressourcer et de se détacher des préoccupations quotidiennes. Que ce soit la lecture d’un livre captivant, la peinture, la cuisine ou même le jardinage, ces activités permettent aux parents de se concentrer sur autre chose, ce qui leur apporte de la joie.
Il est essentiel de créer un espace dans la journée, même s’il ne dure que quelques minutes, pour savourer ces moments de loisirs. Cela contribue à un équilibre sain entre les responsabilités parentales et le besoin d’expression personnelle.
Rituels à deux
Établir une soirée régulière à deux, sans enfants, pour discuter et se reconnecter l’un à l’autre peut renforcer la relation de couple et offrir un espace de détente et de partage. Ces moments permettent de partager des pensées, de se remémorer des souvenirs ou simplement de profiter d’un bon repas ensemble.
Que ce soit un dîner à la maison après avoir couché les enfants ou une sortie au restaurant, qui nécessite plus d’organisation, ces rituels renforcent les liens et permettent aux parents de se rappeler qu’ils sont également des partenaires et non seulement des éducateurs. Il est important de prendre le temps de cultiver cette relation pour maintenir une dynamique familiale harmonieuse. Sans votre couple, il n’y aurait pas eu d’enfant(s) !
Journées de bien-être
Pourquoi ne pas planifier des journées ou des après-midis pour vous faire dorloter ? Que ce soit un passage au spa, un massage, ou une simple baignade ou balade, ces moments de soin personnel permettent de relâcher la pression accumulée.
Les parents peuvent aussi organiser des journées bien-être à la maison, en créant une ambiance relaxante avec des bains chauds, des masques de beauté, ou des moments de silence. Ces petites escapades du quotidien peuvent apporter un grand réconfort et recharger les batteries.
La dernière clé : se faire aider !
Prendre soin de vous et de votre couple est un élément fondamental pour maintenir une bonne santé mentale. Toutefois, cela peut sembler plus facile à dire qu’à faire, dans le cadre d’un quotidien bien chargé entre vie professionnelle et responsabilités parentales.
Établir un réseau de soutien
Créer un réseau de soutien solide est essentiel pour les parents. Ne serait-ce que pour avoir un espace pour partager vos expériences, préoccupations et émotions. Que ce soit avec d’autres parents, des amis proches ou des membres de la famille, ce réseau peut fournir une écoute empathique et des conseils pratiques. Participer à des groupes de soutien, qu’ils soient en personne ou en ligne, peut également offrir un sentiment d’appartenance et d’encouragement.
Les groupes de parents ayant des enfants du même âge, par exemple, peuvent permettre de discuter des défis communs, de partager des ressources et de créer des liens durables. S’engager dans ces communautés aide non seulement à réduire le sentiment d’isolement, mais aussi à apprendre de nouvelles stratégies de gestion du stress et des émotions.
Maintenir une communication ouverte
Encourager une communication ouverte au sein de la famille est vital. En tant que parents, vous devriez vous sentir libres d’exprimer vos préoccupations et vos sentiments, que ce soit avec votre partenaire ou vos enfants, et ce quel que soit leur âge. Discuter des émotions, des craintes et des défis rencontrés permet non seulement de renforcer vos liens familiaux, mais aussi de démystifier les difficultés mentales et émotionnelles.
Cela peut également aider vos enfants à comprendre que leurs parents, bien qu’ils soient souvent perçus comme des figures fortes, ressentent aussi des émotions et des pressions. Un dialogue ouvert peut favoriser une atmosphère de soutien et de compréhension mutuelle, renforçant ainsi le bien-être de toute la famille.
Ne pas hésiter à consulter un professionnel
Consulter un professionnel de la santé mentale est une étape importante pour obtenir des conseils adaptés et un soutien supplémentaire, si les symptômes de stress ou d’anxiété commencent à affecter votre vie quotidienne. Qu’il s’agisse d’un thérapeute, d’un psychologue ou d’un psychiatre, l’important est de choisir un professionnel formé à la complexité des situations liées à la parentalité, qui pourra fournir des outils et des stratégies personnalisées pour vous aider à naviguer à travers les défis de votre rôle de parent.
Ces consultations peuvent inclure des techniques de gestion du stress, des conseils en matière de communication, ainsi que des approches comportementales pour traiter les troubles mentaux. Par exemple, un professionnel peut aider les parents à reconnaître et à modifier des comportements nuisibles résultant de symptômes tels que l’anxiété, la dépression ou l’irritabilité. Il peut également offrir un espace sûr pour discuter des défis de la parentalité, permettant ainsi aux parents de mieux comprendre et gérer leurs émotions.
Parents, n’hésitez pas à chercher de l’aide lorsque cela est nécessaire : reconnaître que vous avez besoin de soutien est un signe de force, non de faiblesse. Cette démarche proactive aura un impact positif non seulement sur votre santé mentale, mais également sur votre capacité à être présents et attentifs pour vos enfants.
En résumé, prendre soin de vous et de votre couple ne constitue pas un luxe, mais une nécessité qui, en fin de compte, bénéficie à toute votre famille. En priorisant votre bien-être, vous favorisez l’épanouissement de vos enfants, contribuant ainsi à leur développement harmonieux et à des relations familiales enrichissantes pour tous !
Sources
[1] La Santé en action, 2024, n°. 466, p. 21-23, Entourer les parents pour prévenir l’épuisement parental, Rebecca Shankland et Aurélie Paldacci, Rebecca Shankland et Aurélie Paldacci – Mai 2024 : https://www.santepubliquefrance.fr/docs/entourer-les-parents-pour-prevenir-l-epuisement-parental
[2] ameli.fr, Après l’accouchement : baby blues et dépression du post partum : https://www.ameli.fr/assure/sante/devenir-parent/accouchement-et-nouveau-ne/baby-blues-depression-post-partum-grossesse
[3] Sondage réalisé par l’IFOP pour sleepyz auprès de 1001 parents d’enfants de moins de 3 ans : https://sleepyz.fr/vie-sexuelle-sentimentale-jeunes-parents/
[4] Étude menée par l’IFOP pour Malo – 2022 : https://www.ifop.com/publication/les-francaises-et-le-burn-out-maternel/
Nous vous offrons une couverture d’emmaillotage Ergobaby, d’une valeur de 24.90€ !
Caractéristiques
- Taille de l’enfant : 0-3 mois
- Poids de l’enfant : 3,2 à 6,4 kg
- Tog : 0.5
- Motifs : Éléphants
La couverture d’emmaillotage Ergobaby est conçue pour aider votre bébé à s’endormir plus rapidement et à profiter d’un sommeil plus long et serein, vous permettant ainsi de mieux vous reposer également.
Comment y participer ?
Pour participer à notre jeu-concours, rien de plus simple, il suffit de suivre les 3 étapes ci-dessous :
- Likez le post Instagram Abc kidz du jeu-concours
- Taguez deux amis qui pourraient être intéressés en commentaire du post Instagram
- Complétez le formulaire suivant :
Le jeu-concours étant terminé, le formulaire n’est plus en ligne.
Fin du jeu-concours
Inscriptions : jusqu’au dimanche 29/09 à minuit
Annonce des résultats : le 30/09 sur notre page Facebook et compte Instagram Abc kidz.
La couverture d’emmaillotage Ergobaby
Grâce à ses poches ajustées pour les bras et son positionneur de hanche sécurisé par velcro, cette couverture assure un maintien optimal, empêchant tout glissement. Ergonomique, elle permet à votre bébé de bouger naturellement ses hanches et ses jambes, tout en prévenant les réveils causés par des mouvements incontrôlés (par exemple si le réflexe de moro est très présent chez votre bébé).
Pratique, elle dispose d’une poche rabattable qui facilite le changement de couche sans avoir à défaire l’emmaillotage des bras. Un véritable allié pour apaiser bébé lors des moments agités.
Découvrez en vidéo la couverture d’emmaillotage Ergobaby :
Bonne chance à toutes et à tous !
Crédits photos : Ergobaby
Elaborée par Maria Montessori, femme médecin et philosophe du 19ème siècle, la pédagogie Montessori est fondée sur une approche sensorielle et kinesthésique (qui se rapporte à la perception consciente de la position ou des mouvements des différentes parties du corps) de l’éducation. Cette méthode vise à aider l’enfant à découvrir et à comprendre son corps à travers des expériences pratiques. Dès le plus jeune âge, l’objectif est de lui proposer des activités en fonction de « ses périodes sensibles ». Pour favoriser un apprentissage optimal, la pédagogie Montessori préconise un environnement calme et adapté, avec un matériel spécifique qui répond aux besoins et aux compétences de l’enfant, tout en évitant la sur-stimulation. Il s’agit finalement d’aller au rythme de chaque enfant ! Dans cet article, on vous en dit plus sur la mise en application’ de cette méthode et ses bienfaits.
L’enfant au centre, mais avec un cadre bien délimité !
La méthode Montessori se distingue par une pédagogie centrée sur l’enfant, qui place son épanouissement au cœur du processus éducatif. Contrairement à l’éducation traditionnelle, cette approche permet à l’enfant de développer ses compétences de manière autonome, à travers des activités adaptées à son âge et à son rythme.
Néanmoins, mettre l’enfant au centre ne signifie pas qu’il fait ce qu’il souhaite, comme il le souhaite, quand il le souhaite. Cela est souvent une mauvaise interprétation de la méthode Montessori ! En effet, pour la pédagogue italienne, offrir un cadre à l’enfant est essentiel pour structurer son développement et lui apprendre la liberté. Il s’agit avant tout de le guider dans l’acquisition diverses compétences. En réalité, bien que l’enfant jouisse d’une certaine liberté, celle-ci s’inscrit, grâce au cadre qui lui est donné, dans l’apprentissage du respect des règles de la vie en société.
En favorisant un environnement propice à l’exploration et à la découverte, la pédagogie Montessori offre aux enfants les outils nécessaires pour apprendre par eux-mêmes, tout en respectant leurs besoins individuels et ceux des autres. Ce cadre éducatif, fondé sur une méthode éprouvée, accompagne les enfants dans leur développement sensoriel, moteur et intellectuel, tout en valorisant leur curiosité naturelle.
Le matériel Montessori
Inspiré du matériel conçu par l’auteur et pédagogue français Edouard Seguin (1812 – 1880), le matériel Montessori est là pour éveiller le sens des enfants. Ainsi, il s’agira de matériaux naturels, avec des poids et des textures différentes. Bien évidemment, il sera adapté aux mains des enfants qui pourront s’en servir en toute autonomie. Il a également la capacité de permettre aux enfants de comprendre par eux-mêmes lorsqu’il y a des erreurs.
Parmi les exemples de matériel Montessori, on trouve les mobiles, les hochets, les lettres rugueuses, les clochettes qui isolent chacune des notes, et les cadres de boutonnage.
À l’aide de ce matériel, l’enfant sera progressivement en capacité de :
- Classer et élaborer un raisonnement : favorise la logique et l’organisation mentale
- Nommer des concepts : enrichir son vocabulaire et sa compréhension du monde qui l’entoure
- Affiner l’usage de ses mains : améliore la dextérité et la précision dans l’utilisation de ses mains
- Se développer socialement : d’apprendre à interagir et à collaborer avec les autres
- Se corriger seul, recommencer et donc apprendre en toute autonomie.
Zoom sur les périodes sensibles
Selon Emmanuelle Opezzo, diplômée de l’Association Montessori Internationale et auteure du livre Vivre la pensée Montessori à la maison (éd. Marabout), « Une période sensible est une période particulière et limitée dans le temps pendant laquelle l’enfant est inconsciemment et irrésistiblement sensible à certains aspects de son environnement, en excluant d’autres ».
Les périodes sensibles correspondent donc à des moments de la vie où l’enfant est particulièrement réceptif à l’apprentissage de certaines compétences. Ces périodes sont transitoires, et bien que l’apprentissage soit toujours possible en dehors de ces moments, il peut être plus difficile et complexe. Durant une période sensible, votre enfant portera une attention particulière à des objets ou des activités. Il aura un fort besoin de satisfaire sa curiosité.
Il existe 6 types de périodes sensibles.
La période sensible du raffinement des sens (0 – 5 ans)
Durant la période sensible de la coordination des mouvements, l’enfant cherche à maîtriser des actions motrices spécifiques et à effectuer des tâches de manière autonome. Il veut faire des gestes comme boire au verre ou marcher avec assurance sans aide. Cette période est essentielle pour développer la motricité fine et globale, permettant à l’enfant d’explorer ses capacités physiques et d’acquérir une plus grande indépendance dans ses activités quotidiennes. En soutenant l’enfant dans cette phase, vous lui permettez de renforcer sa coordination et de gagner en confiance dans ses capacités motrices.
La période sensible du langage (0 – 6 ans)
La période sensible du langage est une phase durant laquelle l’enfant est particulièrement réceptif à l’apprentissage des langues parlées autour de lui. Grâce à son esprit absorbant, il peut assimiler et utiliser les structures linguistiques et le vocabulaire de manière intuitive. Cette période est cruciale pour l’acquisition du langage, car elle permet à l’enfant de développer des compétences linguistiques fondamentales avec une grande facilité. Après 6 ans, l’apprentissage des langues devient plus complexe, il est donc important de soutenir l’enfant dans cette phase pour maximiser ses capacités linguistiques et son développement communicationnel.
La période sensible des petits objets / de la sensibilité aux petits détails (1 – 2 ans)
La période sensible des petits objets est caractérisée par un intérêt marqué pour les détails et les objets de petite taille. L’enfant développe une sensibilité accrue aux petits éléments de son environnement et montre une capacité à se concentrer sur des tâches précises. Cette phase est importante pour le développement de la concentration, de la motricité fine et de l’attention aux détails. Offrir à l’enfant des opportunités pour manipuler des petits objets et participer à des activités qui exigent de la précision contribue à renforcer ces compétences et à stimuler son développement cognitif et sensoriel.
La période sensible de l’ordre (1 – 3 ans)
La période sensible de l’ordre est cruciale pour le développement de l’enfant, car elle lui permet d’apprendre à organiser son environnement et à identifier les objets en désordre. Pendant cette phase, l’enfant développe une forte inclination à remettre tout à sa place et à maintenir un espace structuré. Il est capable de repérer instantanément les objets qui ne sont pas à leur place, favorisant ainsi une compréhension plus profonde des concepts d’organisation et de structure. Cette sensibilité à l’ordre aide l’enfant à développer des habitudes d’organisation et à établir un environnement de vie plus harmonieux.
La période sensible du mouvement coordonné (18 mois – 4 ans)
L’enfant ne naît pas avec une coordination motrice innée. Celle-ci se développe progressivement grâce à des efforts, de la pratique, du temps et la maturation biologique. Dès le plus jeune âge, l’enfant a donc besoin d’activités adaptées pour développer la dextérité de ses mains et la coordination œil-main. Cependant, c’est véritablement à partir de 18 mois, lorsqu’il commence à marcher et gagne en autonomie, qu’il entre dans une phase de mouvement intense. Il recherche alors des défis et à accomplir des mouvements difficiles, comme porter des objets lourds ou grimper des escaliers.
Comme l’enfant imite les mouvements des autres humains, il est essentiel de lui permettre de participer aux activités de la vie quotidienne, telles que cuisiner, découper, porter des objets, pour répondre à ce besoin de coordination des mouvements. On propose aux enfants des tâches avec un objectif précis à atteindre, tout en utilisant de vrais objets, souvent cassables, ce qui les incite à affiner leurs gestes.
La période sensible du comportement social (2ans ½ – 6 ans)
La période sensible du comportement social est marquée par un intérêt croissant pour les règles de la société et les interactions sociales. L’enfant commence à comprendre et à suivre les normes sociales telles que la politesse, les règles des repas, et les comportements attendus dans les relations avec les autres. Cette phase est essentielle pour le développement de compétences sociales et relationnelles. En introduisant des règles et des rituels sociaux de manière cohérente, vous aidez l’enfant à intégrer les comportements appropriés et à développer des interactions sociales positives.
Il est important de rappeler que les phases d’âges mentionnés dans le cadre des périodes sensibles ne sont que des repères indicatifs et peuvent d’ailleurs paraître très larges. Chaque enfant est unique et suit son propre rythme de développement. Les périodes sensibles peuvent ainsi varier en durée, en intensité et même se chevaucher, rendant l’expérience de chaque enfant singulière. Il s’agit donc de rester flexible et attentif aux signes que votre enfant vous envoie, plutôt que de vous fier uniquement aux repères chronologiques classiques. Observer les comportements, les préférences et les réactions de votre enfant peut vous aider à mieux comprendre dans quelle phase de développement il se trouve et à ajuster les activités ou le matériel éducatif en fonction de ses besoins actuels.
Si vous ne parvenez pas à identifier la période sensible de votre enfant et à répondre à son envie d’apprendre, il se peut qu’il exprime son inconfort de manière plus intense, ce qui peut être interprété comme des « caprices ». Cependant, il est important de voir ces réactions comme des manifestations de frustration face à un besoin non satisfait.
Maria Montessori décrit ce que certains adultes nomment “caprices” comme « l’expression d’une perturbation intérieure, d’un besoin insatisfait, à l’état aigu. Ils représentent une tentative de l’âme pour réclamer, pour se défendre ». Il peut parfois suffire d’être attentif aux besoins de votre enfant durant ces périodes et de lui offrir le soutien approprié pour éviter ces réactions.
Comment répondre aux besoins de l’enfant pendant sa période sensible ?
Tout passe d’abord par l’observation. Ensuite, vous pouvez lui présenter le matériel et les situations adéquates pour répondre à ses besoins. Quelques exemples par période :
- ordre : veillez à ce que la maison et les objets du quotidien soient rangés toujours au même endroit, et proposez à votre enfant de trier, de créer des imagiers en classant leur contenu par catégorie.
- coordination des mouvements : faites-lui faire des activités de la vie pratique, avec des accessoires adaptés à sa taille (lacets, boutonnières, balayage, épluchage, etc.)
- raffinement des sens : faites-lui reconnaître des odeurs, des objets en les touchant les yeux fermés…
- langage : parlez-lui sans oublier de lui expliquer des mots compliqués, lisez-lui des livres avec une bonne qualité de vocabulaire, proposez un jeu d’histoires séquentielles à remettre dans l’ordre.
- comportement social : vous pouvez lui présenter des règles de vie en famille (un petit tableau avec le déroulé des activités et leurs horaires : dîner, brossage de dents, lecture et au lit !) et lui proposer de dire « s’il-te-plaît » et « merci ».
- petits objets : lui donner, sous surveillance (risques de suffocation) des petits objets à manipuler. Cette période va aussi éveiller sa faculté à contrôler son esprit et à travailler sa concentration. C’est pourquoi vous pouvez opter pour des activités comme le mémory, excellentes pour exercer sa concentration.
L’apprentissage par le jeu
Dans la pédagogie Montessori, l’apprentissage par le jeu occupe une place centrale.
Cette méthode permet à l’enfant de découvrir le monde qui l’entoure à travers des activités ludiques et éducatives adaptées à son niveau de développement. Le jeu devient ainsi un véritable outil d’éducation, stimulant à la fois la curiosité, la concentration et l’autonomie des enfants.
En explorant librement les différents matériaux Montessori, bien rangées sur des étagères à sa hauteur, l’enfant développe ses compétences cognitives et motrices de manière naturelle.
L’école par la méthode Montessori
Les écoles qui appliquent la méthode Montessori offrent un cadre éducatif distinct, centré sur les principes de l’autonomie et de l’apprentissage autodirigé. Ces établissements mettent en place des environnements d’apprentissage adaptés à différents âges, où les enfants sont encouragés à explorer et à progresser à leur propre rythme.
Les espaces sont conçus pour favoriser l’autonomie des enfants, avec des matériaux pédagogiques soigneusement sélectionnés pour stimuler leur curiosité et leur développement. Les enseignants, formés à la pédagogie Montessori, soutiennent les élèves en les guidant avec bienveillance et en répondant à leurs besoins individuels.
Cependant, il est important de noter que le choix entre une école Montessori et une école traditionnelle, qu’elle soit publique ou privée, dépend des besoins spécifiques de chaque enfant et des préférences réfléchies des parents. Les deux types d’établissements peuvent offrir des avantages significatifs en fonction des objectifs éducatifs et des valeurs familiales.
Que faire en cas de période sensible difficile ?
Lorsque la période sensible d’un enfant semble se dérouler difficilement, il est essentiel de ne pas affronter cette situation seul.
Dans la pédagogie Montessori, le soutien de l’entourage joue un rôle important. En discuter entre conjoints, faire appel aux membres de la famille, ou encore à des professionnels de la petite enfance peut grandement aider à mieux comprendre et accompagner l’enfant. L’éducation de l’enfant est un processus collectif, où chaque personne proche de lui peut contribuer à son épanouissement.
En cas de besoin, il est également recommandé de consulter des professionnels de santé spécialisés, qui peuvent offrir des conseils adaptés pour aider l’enfant à traverser cette période sensible de manière plus sereine. Collaborer avec ces ressources permet de créer un environnement éducatif plus apaisé et de mieux répondre aux besoins spécifiques de l’enfant.
Les bénéfices de la méthode Montessori chez l’enfant
Pour finir, l’un des principes fondamentaux de la pédagogie Montessori est d’encourager l’autonomie et l’initiative chez l’enfant. Cela se fait en lui montrant comment accomplir une tâche, puis en lui laissant la liberté de vous imiter. Il est essentiel de n’intervenir, une fois la démonstration faite et le cadre posé, que si l’enfant le demande expressément. En effet, si en cas de blocage ou d’échec, vous aidez votre enfant sans avoir attendu qu’il réessaye, cela sera pour lui synonyme d’échec et pourrait engendrer une perte de confiance en lui.